Comment une vision peut devenir une réalité

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  • janvier 1, 2020

La première solution à un problème est rarement la meilleure puisqu’elle cherche uniquement à étouffer le désagrément que l’on vit. Comme on ne veut plus en entendre parler, on ne cherche pas en amont pour déceler les causes  du problème. On veut juste l’éradiquer au plus vite. Malheureusement, ce genre de médecine de brousse visant à écarter un problème plutôt qu’à le résoudre finit par coûter plus cher que d’opérer un réel changement. De nos jours, on ne peut plus agir ainsi;  si on souhaite rester compétitif et avoir une longueur d’avance sur les autres, il faut trouver des solutions viables. Et ça, l’ÉTS l’a compris!

L’École de technologie supérieure possède la deuxième plus grande cohorte au Canada d’étudiants en génie. C’est une fierté pour tous les Canadiens. Leurs programmes académiques s’actualisent toujours dans le but d’être adaptés aux besoins des milieux d’affaires et industriels. Et pour rester dans la course, l’ÉTS doit chercher à s’améliorer, et ce, continuellement.  Madame Tina Mercier, chargée de projets chez nous, a travaillé conjointement avec monsieur Noël Giguère de l’ÉTS à l’élaboration et à la réalisation d’un projet colossal : implanter quatorze postes de travail avec huche TekZone dans un même espace. C’était assez audacieux!

Quelques mois après cette implantation, j’ai voulu savoir ce qui avait motivé ce changement de la part de l’ÉTS. Voici ce que monsieur Noël Giguère m’a partagé :

«Nous avons transformé un de nos laboratoires pour le moderniser, mais aussi pour régler une problématique. Et la problématique était d’avoir plusieurs projets électriques dans un même espace. Il fallait donc sécuriser chacun des projets. Et tant qu’à le faire, aussi bien le faire avec des postes de travail avec huche TekZone.»

Quels étaient les coûts (monétaires ou autres) que ce problème a engendrés? 

« Des coûts de plus de 100 000,00 $ (sans compter les autres dépenses reliées au laboratoire).»

Quelles étaient les solutions envisagées avant l’achat des postes de travail avec huche TekZone? Quel fut l’élément (ou les éléments) qui a fait pencher la balance en ce sens?

«Notre première option a été d’aller avec les postes de travail avec huche TekZone. Ils sont conçus au pays, d’excellente qualité, et nous avons un bon service.»

Après l’achat et une période d’utilisation de quelques mois, avez-vous commencé à retirer certains bénéfices (avantages) de cet investissement? Si oui, quels sont-ils?

«Oui. Nous avons un meilleur suivi sur les projets. Et puisque l’espace est propre et personnel à chaque regroupement, cela encourage les étudiants à garder leur espace de travail propre.»

Si une personne autour de vous vivait un problème semblable à celui que vous avez vécu, que lui diriez-vous?  En fin de compte, est-ce que vous lui suggéreriez ce même type de poste de travail?

«Je vais lui suggérer de faire la même chose et de faire affaire avec Pedlex et d’utiliser l’équipement Rousseau Métal.»

Les étudiants de l’ÉTS peuvent être fiers de travailler dans un environnement plus moderne tant dans la façon de penser des dirigeants et des enseignants pour résoudre un problème que dans la manière de soutenir le développement des compétences de ces génies en devenir. Monsieur Giguère croyait que l’amélioration d’un environnement de travail pouvait avoir un impact positif sur la motivation des étudiants, mais surtout sur leur façon de travailler. Et c’est parce qu’il y croyait que c’est devenu possible. Et ce possible est devenu la réalité des étudiants et fait maintenant partie de l’évolution toujours présente au sein de cette grande école.

Prendre une décision n’est jamais facile. Néanmoins, lorsque nous connaissons bien le problème, la solution apparaît d’elle-même. Et c’est ce que nous faisons avec ce que nous savons qui importe. Y réfléchir c’est bien. Croire que ça va marcher, c’est vraiment bien. Mais passer à l’action en croyant que ce que l’on fait c’est pour le bien de tous, c’est encore mieux!

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